Votre premier émoi gustatif ? Le chocolat.
Le plat que vous détestiez enfant ? Le concombre.
Votre Madeleine de Proust ? La soupe au pistou.
Le plat le plus difficile à réaliser ? Un vrai aligot.
Votre plat « signature » ? Un plat sucré-salé coréen, le japchae. Ce sont des nouilles de patate douce aux légumes et au bœuf.
L’aliment que vous préférez ? Le poisson, mais j’aime aussi beaucoup les légumes. Pas de jaloux !
Celui que vous détestez ? J’aime à peu près tout, mais je dirais quand même les rognons…
Les pires associations ? En Angleterre, on m’a servi un pudding avec de l’agneau. Ce n’est pas que j’ai quelque chose contre la cuisine anglaise, mais je n’ai pas particulièrement aimé !
Votre pêché mignon ? La praluline, une brioche avec des éclats de praline inventée par un pâtissier de la région roannaise, Auguste Pralus.
Vos sources d’inspiration ? Ma grand-mère bien sûr, et les livres de chefs.
Le piège en cuisine ? Être trop sûre de soi.
Le pire souvenir en cuisine ? Un envoi dans un gastro en pâtisserie, le chef était parti faire un tour de moto !
Au réveil, sucré ou salé ? Sucré. Je prends un thé avec des fruits secs et une tartine au miel.
Devant la téloche, sucré ou salé ? J’adore les boissons chaudes. Plutôt un thé nature ou une infusion.
Votre penchant alimentaire honteux ? Je pourrais manger une, voire deux tablettes de chocolat par jour.
Le plat ou le produit pour lequel vous êtes prête à faire 100km ? Une bouillabaisse.
L’homme ou la femme avec qui vous aimeriez dîner en tête-à-tête ? L’artiste islandaise Gabriela Fridriksdottir.
Votre mentor ? Encore une fois, ma grand-mère. Mon oncle aussi, avec qui j’ai fait les marchés à 5h du matin et avec qui j’allais à la criée.
Le chef que vous admirez le plus ? Troisgros, sans doute car j’ai quelques origines de Roanne.
L’aliment le plus bizarre que vous ayez mangé ? Une soupe au sel de requin en Islande.
Si vous étiez un ustensile de cuisine ? Le couteau.